Fondée en 1959 par Graham Nearn, Caterham Cars Services propose une voiture sportive appelée Seven. La firme ne cesse d’améliorer les modèles par rapport à leur performance et leur esthétique. Même avec cette instabilité financière actuelle, la marque présente l’arrivée de la Super Seven 1600. Pour plus d’information, parcourez l’article.
Pourquoi ce nouveau modèle ?
Comme auparavant, Caterham améliore la Caterham Seven Super 1600. Si en 2016, la Caterham Seven Super Sprint a déjà été modernisé, aujourd’hui, c’est au tour de la Caterham Seven Super 1600. Pour y procéder, la Seven Super Sprint a remis la base mécanique de la 160 ainsi que les 3 cylindres Suzuki de 660 cc et 80 ch à 95 ch. Sur le plan design, le modèle a laissé les garde-boues avant pour mettre en place des ailes larges comme la Seven d’antan.
Pour vous faire vivre une expérience comme aux années 60, la construction a adopté du cuir coloré, des touches de chromes, des volants en bois et en aluminium ainsi que des feux arrière ronds. Ayant remarqué la réussite avec la Super Sprint, Caterham a décidé de reprendre le concept avec la Caterham 270 pour produire la Super Seven 1600.
Les particularités de la Super Seven 1600
Le nom provient de la reprise du 1600 Ford Sigma de 136 ch. Sur le plan esthétique, ce modèle se distingue par des ailes larges, des jantes de 14 pouces avec des couleurs modifiables, une roue de secours à l’arrière. A l’intérieur se trouvent un volant en bois et le cuir est toujours favorisé avec une couleur beige classique.
Concernant la performance de la voiture, elle demeure efficace. Avec un poids de moins de 540 kg à vide, le passage de 0 à 100km/h s’effectue en quelques secondes. Pour être plus pratique, elle peut adopter un châssis Standard S3 ou bien le châssis Large SV. Elle est très personnalisable comparée aux autres modèles de la gamme.
Affiner l’expérience de conduite et l’entretien
Au-delà du style rétro et des chiffres de puissance, la vraie différence à l’usage se joue dans la aérodynamique, suspension et freinage. En optimisant la géométrie du train avant, le calage des amortisseurs et le comportement du différentiel, la Super Seven 1600 peut offrir une tenue de route plus précise et une meilleure distribution des charges en entrée de virage. Des réglages fins des pneumatiques et du freinage permettent d’ajuster la progressivité de la décélération et la modulation du couple en sortie de courbe, améliorant la maniabilité sans sacrifier la rétroaction mécanique caractéristique de ce type de véhicule. Travailler sur le centre de gravité, la répartition des masses et quelques appendices aérodynamiques légers contribue aussi à stabiliser la trajectoire à haute vitesse tout en préservant l’esthétique d’origine.
Sur le plan pratique, l’ergonomie du cockpit et la maintenance préventive jouent un rôle central pour prolonger la vie du châssis et du groupe motopropulseur. Un suivi régulier des organes de direction, des fixations de carrosserie et des points d’ancrage du harnais améliore la sécurité passive lors d’utilisations sportives ou de journées piste. Pour ceux qui cherchent à adapter leur Seven aux exigences d’un usage mixte route/piste, la modularité des trains roulants et la facilité d’accès aux composants facilitent les opérations d’entretien et de mise au point. Enfin, pour des conseils techniques et des retours d’expérience sur l’optimisation des réglages, l’homologation et la préparation, il est utile de consulter des ressources dédiées comme le site web Gentlemen Drivers, où l’on trouve des guides sur la préparation, la fiabilité et les bonnes pratiques d’entretien. En combinant mise au point dynamique, interventions mécaniques ciblées et suivi régulier, on obtient une Seven qui reste fidèle à son esprit tout en gagnant en efficacité et en constance sur route comme sur circuit.




